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    photo de Jaroslaw Taran, sept. 1962, repos au bord du fleuve.

    L'inscription sur le panneau signifie "prenez garde au train! "

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    mesure("Mesure Pro", "incongru");
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    Shrek Trzeci

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    Bon finalement, il a suffit que je fasse le deuil d'internet chez moi pour que tout revienne à la normale. Jeudi, quelques heures avant mon dernier message, ma proprio est venue chez moi pour m'aider à téléphoner au service d'aide à distance. Après avoir débranché et rebranché le modem, redémarré l'ordi, changé de prise USB, redémarré l'ordi, relancé la connexion une demi-douzaine de fois, la personne au bout du fil a expliqué qu'il s'agissait peut-être d'un problème avec le mot de passe et que si c'était le cas, ça pouvait être arrangé en 20 minutes. Dans le cas contraire, ça pouvait être réparé en 24 heures. Alors j'ai attendu cette vingtaine de minutes (et raté mon cours de polonais): toujours rien. J'ai même attendu une demi-heure en plus et finalement, assez pessimiste pour une fois, je suis allée squatter une connexion internet de l'institut français. Je suis passée par Praga, ma curiosité étant titillée par le panache de fumée qui s'élevait près du rond-point Waszington. Arrivée sur place, il n'y avait rien à voir, juste une forte odeur de chocolat cuit... ça restera un mystère. Et quand je suis revenue chez moi trois heures plus tard... Oh miracle... Ma connexion était revenue.... Y'a pas à dire, ils sont efficaces chez TP...

    Jeudi soir, fête de la musique. Ça n'existe pas vraiment à Varsovie ; il y avait juste un concert africain à l'Institut et un concert totalement amateur dans un café au pied du palais de la culture. Comme je connaissais les chanteurs, je suis allée au deuxième. Soirée sympa, vraiment très amateur, tout à fait l'ambiance de la fête de la musique en France, si ce n'est que le public polonais ne connaissait pas vraiment les chansons de Tryo, Zebda, Anaïs et compagnie. Je suis partie avant la fin pour avoir mon dernier bus et je suis arrivée chez moi trempée par l'averse du moment.

    Hier, nouvelle soupe linguistique : invitée à manger chez une de mes élève vietnamienne, j'ai entendu (et parlé) du français, du polonais (avec ses enfants), de l'anglais (avec son mari qui ne parle pas français et sait que le polonais est difficile pour moi) et vietnamien (comme j'ai deux élèves vietnamiens, j'apprends à dire quelques mots). Et le matin, en passant par le Stadion (le marché russe), j'ai failli craqué pour un petit chaton en attente de nouveaux parents. Non, en fait j'ai craqué mais mon cerveau réaliste m'a fait comprendre que c'était pas une bonne idée d'improviser ça, que c'était pas sûr que j'ai les moyens financiers pour m'en occuper et que j'avais déjà une idée d'où mettre la litière... euh non, ça c'était le cerveau fantaisiste. Bon finalement je suis rentrée chez moi les mains vides mais avec un petit chat dans un coin de ma tête.

    Alors aujourd'hui, j'ai commencé par faire la grass'mat (pour éviter d'être tentée de retourner au stadion) et j'ai passé une grande partie de ma journée sur mon canapé à profiter de mon accés internet et à regarder une série (Dead like me : pas la meilleure série de ces dernières années, mais très agréable à regarder et pas prise de tête comme d'autre). Il faut dire que la météo du moment me décourage pas mal : dés que je me dis que je vais mettre le nez dehors, je regarde le ciel, vois qu'il est subitement très gris et cinq minutes plus tard, il tombe des cordes avec éclairs et tonnerre et on perd 7-8 degrés. Le grand jeu de mes soirées ce week-end, c'était de deviner si le bruit de roulement de tambour que j'entendais dehors venait d'un orage ou d'un feu d'artifice (il y en a quand même eu trois hier soir). Apparemment la fête des pères, fêtée hier en Pologne, est vraiment un grand événement ici.

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  • J'ai perdu l'accés internet de mon appartement depuis une semaine ce qui explique l'absence de mise à jour. Et je n'écris pas d'un cyber-café ou autre parce que pour écrire un message, j'aime bien avoir mon petit confort, mes photos et ma musique sous la main, des miliers de sites à portée de clic...

    Profitez de ce temps pour jouer à mon petit jeu d'il y a quelques posts. Mais peut-être vous avez besoin d'une carotte? J'offre à celui qui trouve la bonne réponse, une nuit d'hébergement à Varsovie, 4 étoiles, proximité du centre et des transports, télévision locale, accés à internet (parfois) ... enfin chez moi, quoi... Comment ça? ça ne vous motive pas ?

     

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    L'aire langagière de mon cerveau est à deux doigts d'exploser. C'était déjà pas fameux avant, à jongler entre trois langues, mais les 72 dernières heures ont démoli le peu que j'avais réussi à maintenir. Comme je l'ai annoncé il y a quelques jours, j'ai fait un petit séjour en France. Jusque là, rien d'extraordinaire me direz vous, mais le problème c'est qu'il n'y a pas d'aéroport (low cost) dans la région où habitent mes parents. Alors je suis obligée de passer par l'Allemagne, à l'aller comme au retour. Et comme apparemment, je dispose d'un fort capital sympathie, il y a toutes sortes de gens (surtout les vieilles dames en fait) qui veulent me parler de toutes sortes de choses (mais je ne comprends pas souvent de quoi). Et me voilà donc dimanche matin à essayer de chercher dans le fond de mon aire de Broca, quelques restes de mes 8 ans d'apprentissage. Ouch, très difficile...

    Ça continue dans l'avion où je me retrouve entourée de polonais qui comme moi ont profité du long week-end pour se balader en Europe. En guise de bain linguistique, je me retrouve dans une douche polonaise écossaise linguistique. Mes quatrième et cinquième langues seront évidemment l'anglais et, plus original, le hongrois. Et oui, c'est comme ça dans ces petites compagnies aériennes.Et là, une grande question : dans quelle langue faut-il parler aux hôtesses et stewards ? la langue de l'aéroport de départ, de celui d'arrivée ou de l'avion ?

    Pour continuer sur ma lancée, je suis allée hier soir à l'anniversaire d'une de mes amie tombée amoureuse de l'Italie. Donc bien sûr plusieurs de ses amis sont originaires de ce pays. Une bonne partie de la soirée s'est donc passée en italien, que je ne comprends évidemment que très partiellement, c'est-à-dire quand les mots sont cousins du français. Un peu plus tard, lors d'une discussion (avec des polonais) mêlée de français et de polonais, on en vient à échanger quelques mots en allemand (le retour), en espagnol et en russe (mais là c'est surtout eux qui échangent, moi je me contente d'écouter).

    Le résultat c'est qu'aujourd'hui, je suis obligée de réfléchir à la langue qu'utilisent les gens qui me parlent avant d'essayer de comprendre (ce qui n'est pas très nouveau) mais aussi à celle que moi j'utilise – après avoir parlé...

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